Essai de réécriture

Petit exercice de remaniement sur une nouvelle de Jeremy, comme ça pour m'amuser ^^

Citation :

L’Empire du Désert

C’était la guerre. Jétais un fidèle de l’empire. Un guerrier. Je faisais partie des hauts gradés mais je tairais mon nom pour ma propre sécurité.

« Alors général, êtes vous prêt pour suivre les conseils que m’a donné l’empereur vous concernant ? »

J’étais sous une grande tente, en plein désert, une table au milieu… Entouré d’un général et de ses lieutenants. Le général, peu habitué au climat de la région suait sang et eau et marchait en réfléchissant, faisant s’envoler du sable provenant du désert extérieur. Il s’arrêta de tourner et tapa du poing sur la table.

« Si je vous écoute, certains de mes hommes mourront durant ces affrontements. J’aimerais pouvoir faire autrement que de faire massacrer mes troupes car l’empereur l'a décidé. »

Dit-il, à moitié furieux et en colère. Il regarda ses lieutenants, essayant de se prouver à lui-même la valeur de ses arguments. Je le regardais, un peu triste pour lui, cependant je n’étais pas là pour le consoler mais pour appliquer les ordres de l’empereur.

« Je comprends vos paroles mais dans toute guerre il y a des morts, que ce soit dans un camps ou dans un autre. L’Empereur décide, les troupes obéissent. L’avez-vous oublié Général ? »

Je le regardais d’un air de défi même si je n’étais pas là pour régler des problèmes internes. Il remarqua qu’il était allé trop loin et s’en excusa.

« Non, non… Je n’ai pas oublié mais même si cela se passe comme vous l’avez dit, je peux ne pas être d’accord avec son opinion et son avis. »

Les lieutenants hochèrent la tête, confirmant les dires du général Cassandre.

« Bien Cassandre. Je crois que tout est dit. Que vous soyez d’accord ou non, ce n’est pas moi ni vous qui pouvons y faire quelque chose. Préparez vos troupes, attaque immédiate. »

Sur ces mots, je me tournai et sortis de la tente, la cape flottant dans l’air. J’entendis ruminer Cassandre et fit un léger sourire mais il ne dura pas. Je montai sur mon cheval, l’air fier pour toute personne m’observant et attendit que les troupes soient prêtes.
Au bout d’une dizaine de minutes, beaucoup de bruits résonnèrent et peu à peu, les troupes se mirent en rang derrière moi. Cassandre se mit à côté de moi, toujours furieux. Furieux mais docile. Il me déclara qu’il n’était toujours pas d’accord même s'il obeissait à l’empereur.

« Je ne suis toujours pas d’accord avec vos dires Charles mais je vous suivrai pour prouver au monde que je ne suis pas une chochotte mais un homme brave qui n’hésite pas à sacrifier ses troupes pour le bon vouloir d’un empereur n’ayant aucune stratégie. »

Sur ces mots, il cracha sur le sol. Je remarquai que beaucoup de soldats suivirent l’exemple de leur général. Je me retournai :

« Suffit, ne déshonorez pas l’Empire. Soyez courageux et fiers, je vous suivrai moi aussi lors de l’affrontement. »

Cela les calma un peu de savoir qu’ils n’allaient pas mourir seuls mais une appréhension naquit avec une certaine peur. Le monde a toujours eu peur de la mort mais on dit toujours que quelqu’un qui n’a pas peur de la mort n’a peur de rien. Je donnai le signal du départ. Nous étions une cinquantaine.
Des troupes arrivèrent face à nous, ils étaient bien deux cents soit quatre fois plus nombreux que nous. La peur grandit parmi les troupes mais personne ne se défila.
Nous nous heurtâmes dans un grand fracas. Je fus attaqué dès le début par plusieurs soldats. Je les massacrai en une forte odeur de sang et de cris. J’avais l’avantage de la monture mais au bout d’un certain temps mon cheval mourut. Je fus encerclé. J’essayai de regarder autour de moi et vis que tous les soldats étaient morts. Il ne restait plus que moi et Cassandre. Je le vis se battre comme un beau diable mais il se fit débordé et mourut, une épée le transperçant de part en part, suivi de plusieurs autres. Il mourut en brave, comme il le désirait. Quant à moi, mes chances de survie étaient faibles mais je me battais comme un beau diable massacrant des dizaines de soldats. J’étais la plus fine lame du pays disaient certains, je crois que c’est vrai… maintenant que la fin est proche.
Un soldat m’attaqua de dos et me transperça, cela faisait mal. Je tombai à terre, mon sang s’unissant au leur. Ne dit-on pas, unis à la mort ? Plusieurs piqûres se firent sentir, autant de lames me vidant de ma vie. Mes dernières images furent les troupes ennemis continuant leur chemin et mon empereur s’enfuyant à l’horizon.
J’ai donné ma vie à l’empereur et cela, il n’avait pas l’air de s’en soucier fuyant pour essayer de sauver sa propre vie. Un sentiment de peine, comme quand étant enfant, on se sentait rejeté par ses parents naquit en moi, des larmes coulèrent sur mes joues durant ma dernière expiration. Que la vie était cruelle.

Voici ma version :

L’Empire du Désert






C’était la guerre. Jétais un fidèle de l’empire. Un guerrier. Je faisais partie des hauts gradés, de ceux à qui l'ont confie les missions.

« Alors général, êtes-vous disposé à suivre les ordres de l'empereur concernant votre unité? »

Sous une grande tente de commandement en plein désert, une table au milieu couverte de diverses cartes de la région sur lesquelles étaient établis différents plans stratégiques, j'étais entouré d’un général et de ses lieutenants. Le général, peu habitué au climat de la région suait sang et eau et réfléchissait en faisant les cents pas, soulevant le sable à chacune de ses volte-faces. Il s’arrêta de tourner et tapa du poing sur la table.

« Si je suis ces ordres insensés, certains de mes hommes mourront durant ces affrontements. Je préfèrerais une alternative à envoyer mes troupes au massacre sous prétexte que c'est le bon vouloir de l'Empereur. »

Dit-il, le visage congestionné par la colère. Il regarda ses lieutenants, cherchant un soutien dans leurs yeux, plus pour le conforter lui, que d'être rassuré par leur aprobation.
Je le regardais, un peu triste pour lui, cependant je n’étais pas là pour faire du sentiment mais pour appliquer les ordres de l’Empereur.

« Je comprends vos sentiments Général, mais dans toute guerre la mort fait partie de l'équation et ce, des deux côtés. Et puis, L’Empereur décide, les troupes obéissent. Avez-vous oublié, Général ? »

Je le fixais de mon regard acier. Acier de par sa couleur et acier aussi par son intensité, sa dureté. J'aimais mettre ce vieux militaire mal à l'aise mais je n'étais pas ici pour régler des problèmes internes. Le Général remarqua qu’il était allé trop loin et s’en excusa.

« Non, non… Je n’ai pas oublié... Même si cela se passe comme vous l’avez dit, je ne peux ne pas être d’accord avec cette politique quand bien même soit-elle édictée par notre Empereur. »

Les lieutenants hochèrent la tête, appuyant les paroles du Général.

« Bien Cassendre. Je crois que tout est dit. Que vous soyez d’accord ou non, ce n’est plus moi ni vous qui pouvons y faire quelque chose. Préparez vos troupes, attaque immédiate! »

Sur ces mots, je tournais les talons et sortis de la tente, la cape de mon uniforme fouettant l’air. J’entendis ruminer Cassendre dans mon dos, un sourire nacquit sur mes lèvres mais il ne dura pas. Je grimpai sur mon cheval, droit et fier et j'attendit que les troupes se regroupent et s'harnachent.
Dix minutes plus tard, dans un bruit de métal et sous un nuage de sable et de poussière, peu à peu, les troupes se mirent en rang derrière moi. Cassendre amena son cheval à côté du mien visiblement toujours furieux. Furieux mais docile. Il me déclara qu’il n’était toujours pas d’accord mais qu'il obéirait à l' Empereur comme le bon militaire qu'il revendiquait être.

« Je vous fais part une nouvelle fois de mes plus vives objections quant à ce plan irresponsable, Charles. Néanmoins, nous vous accompagnerons dans ce piège car ma troupe et moi sommes de bons et valeureux combattants, même si c'est pour servir un Empereur écervelé n'ayant pas une once de stratégie. »

Sur ces mots, il cracha sur le sol. Je remarquai que beaucoup de soldats suivirent l’exemple de leur général. Je me retournai :

« Suffit! Ne déshonorez pas l’Empire. Soyez courageux et fiers, je vous suivrai, moi aussi, lors de l’affrontement et s'il le faut, nous mourrons ensemble! »

Le calme revint parmi les troupes. Le fait de savoir que je mourrai certainement avec eux avait dû les rassurer un peu. Il régnait maintenant une atmosphère étrangement silencieuse, trop calme même. L'appréhension tombait sur eux, le calme avant la tempête. La mort, la peur ultime de l'Être Humain quoiqu'il en dise, si quelqu'un n'a pas peur de la mort, alors il n'aura peur de rien. Je donnais le signal du départ, nous êtions une cinquantaine.

Nous les vîmes enfin, nos adversaires. A première vue ils étaient au moins deux cents... Bon Dieu! Un pour quatre, ça n'allait pas être simple, je sentis une onde de peur parcourir les hommes, mais personne ne s'enfuit, trop fiers pour ça.

Les deux lignes de front se heurtèrent dans un fracas de poussières, de cris et de sang, les premiers hommes tombèrent immédiatement. Je fus attaqué tout de suite par plusieurs soldats, imaginez un peu le tableau de chasse que je représentais! Tuer un haut gradé de l'armée d'en face c'était la promotion assurée et la reconnaissance de tous. J'avais l'avantage de la hauteur sur ma monture, je tranchais dans le tas en d'amples moulinets du bras, à, gauche! A droite! J'avoue que je ne savais plus bien si je frappais l'ennemi ou mon camps mais qu'importe! Mon cheval finit par s'écrouler mort, trnaspercé qu'il était par de multiple coups d'épées, de lances, malgré sa carapace de combat. Cela me donna encore plus de hargne, mon vieux compagnon, ils avaient tué mon cheval!
Je cherchais Cassendre des yeux et je me rendis compte qu'il restait peu de nos hommes. Lorsque je posai les yeux sur le Général il était entrain de se battre contre six hommes en même temps? Cette vieille tête de mule m'impressionnait par l'ardeur au combat qu'il avait encore à son âge, je n'aurais pas aimé l'affronteren combat singulier. Bientôt il fut submergé par le nombre et plusieurs épées s'abattirent sur lui, il était mort comme un brave, il n'avait rien à regretter.
Pour ma part, la même chose était entrain de m'arriver, de plus en plus de soldats m'encerclaient et même si j'étais reconnu comme une des plus fines lames si ce n'est la plus fine lame de l'Empire, mes chances de survie décroissaient de secondes en secondes.
Je sentis alors une piqûre dans le dos, je baissais les yeux et vis, incredule, un morceau de métal sortir de ma poitrine. Un masque de surprise sur le visage je relevais la tête pour voir fondre sur moi deux soldats la pointe de l'épée en avant. Elles m'ouvrirent l'abdomen et je tombais à genoux, je ne sentais rien et pourtant les chocs des lames entrant dans mon dosétaient bien présents. je m'écroulais. Pendant ma chute qui m'apparut longue, trés longue, je vis au ralenti les soldats ennemis qui se réjouissaient d'avoir abattu un gradé et au loin derrière le peu d'hommes qui étaient encore debout je distinguai un cavalier s'enfuyant au triple galop... C'était l' Empereur... Mon Empereur.

J'ai donné ma vie pour cet homme et il n'eut même pas un regard en arrière pour tous les hommes qui s'étaient sacrifiés pour lui, pas un regard pour moi.... J'étais abandonné, trahi comme jadis par mes parents. Des larmes coulèrent sur mon visage, que la vie était cruelle...

Je n'oserais dire que... superbe reprise de mon oeuvre. Attention, je vais demander des droits d'auteur, mdr.

Continu comme ça, ta encore du boulot sur mes autres oeuvres. Enfin j'ai trouvé quelqu'un pour remanier mes oeuvres à ma place, merci Shotaro, et t'inquiète pas, je te donnerai un pourcentage des ventes lorsqu'elles seront en librairie ^^.

Arrogance ou espoir, mister Coudel ? ^^

Non non pas de droits d'auteur, je suis sans le sou!
J'aime bien faire ça de temps en temps réécrire une histoire, m'appuyer sur une base et ne me concentrer que sur la manière de raconter, c'est assez... reposant je dirais.

En tout cas, content que ca te plaise

Oui, oui, j'affirme et je re-dit: C'est très bien remanier tu as du talent pour ça.

Quand à savoir si c'est de l'arrogance ou de l'espoir... Peut être un peu des deux même si je pencherais plus pour de l'espoir. Je ne suis pas du type arrogant, disant que c'etait une plaisanterie au second degrés mon petit Fantome. Je ne me prends pour un gros bill que dans mes histoires, jamais dans la vie, il faut faire la difference entre jeu et réalité, d'ailleurs si vous voulez vous marrer regarder ça:

http://tf1.lci.fr/infos/0,,3279208,00.html

C'est sur les dangers que représente Word Of Warcraft et les jeux en ligne. Bon visionnage.

Ahah, et après on s'étonne que ma grand-mère est persuadée que le JdR rend fou et associal ^^ Elle a du voir ce reportage.
Le pire moment c'est avec le gars qu'on interview... Comment le journaliste interprète trop son silence, c'est n'importe nawak, bien sur que le gars il en a quasi rien à fouttre de son petit reportage, surtout vu la manière dont ils l'ont tourné :roll:
Moi aussi à sa place j'aurais pensé (et peut-être même dit) un truc du genre "Tu me laisse le temps de me déconnecter quelques instants et je suis tout à toi, mais jouer en même temps que répondre à tes questions débiles, non merci." Mais là il le fait passer pour un vrai drogué...

Maintenant pas trop bien placée pour dire ça aussi, puisque je suis la première à avouer que certains abusent (nan Nigel, te sens surtout pas visé :twisted: En parlant de ça, où en est ton sevrage de Dofus?)

Enfin, c'est quand même avec ce genre de reportage qu'on fait un meltin pot pas croyable entre RPG et folie...

Mais bon, là je m'éloigne du sujet principal mais fallait que je réagisse à ce lien. Sinon c'est une jolie adaptation :D On saisit beaucoup mieux la détresse du général, on a plus envie de le serrer bien fort dans nos bras que dans la première version ;)

"petit Fantôme ? prie pour ta vie, jvais te bouffer !

(sinon oui, tojours au second degrés)

Je me roule par terre en regardant cette video ^^
Trop fort.
Quand tu penses que ces gens là (ceux qui plongent) ça aurait aussi bien pu être l'alcool, la drogue ou n'importe quoi....
Ne soyons pas hypocrites : diaboliser le jeu de rôle ne sauvera personne (même si je n'aime que modérément WoW)

Et c'est vrai qu'ils ont à peine un parti pris en filmant ^^

Jeremy Coudel a écrit:

Je n'oserais dire que... superbe reprise de mon oeuvre. Attention, je vais demander des droits d'auteur, mdr.

Continu comme ça, ta encore du boulot sur mes autres oeuvres. Enfin j'ai trouvé quelqu'un pour remanier mes oeuvres à ma place, merci Shotaro, et t'inquiète pas, je te donnerai un pourcentage des ventes lorsqu'elles seront en librairie ^^.

et... euh... c'est laquelle qu'on éditera?

parce que là...

lol j'avais zappé cette réponse moi ^^

Tu peux préciser Camille?

En fait Jérémy a de franchement bonnes idées dans ses écrits, il lui manque simplement, comment dirais-je, une patte, un style d'écriture. Pour l'instant il se contente de raconter une histoire, il ne joue pas avec les mots pour ménager des effets etc...

Alors qu'il peut le faire, parce que son texte sur le Vietnam est franchement sympatoche.

Attention hein, je ne me pose pas comme prof d'écriture, je ne me permettrais pas, je n'en ai pas les moyens encore moins le talent, mais disons que par rapport à cette réécriture que j'ai fait qu'est-ce que j'ai modifié? En réalité que des trucs logiques.

Par exemple Cassendre, même si c'est un militaire, je vois mal un général aller dire "Je vais lui montrer que mes hommes et moi on n'est pas des chochottes" C'est pas le langage d'un haut gradé, il doit avoir un langage plus soutenu.
Ensuite, je n'ai fait que mettre quelques descriptions en plus et enfin j'ai essayé de me mettre à la place de chaque protagoniste pour décrire ce qu'il ressent dans chaque situation évoquée.

Même si ma version est plus étoffée, il y a carrément mieux à faire encore, rajouter du style dans les formulations par exemple etc... Disons que, comme je l'ai dit dans le premier post, j'aime bien quelques fois, "relire" un texte existant à ma façon, essayer de lui apporter si ce n'est un plus, tout au moins ma patte et ma vision des choses...

En tout cas, j'espère que Jeremy nous postera encore des trucs, ca m'interesse moi tout ça ^^. D'ailleurs tout à l'heure quand je rentre il faut que je donne mon avis sur le dernier texte qu'il nous a soumis

Camille??? Ah oui, c'est moi...

J'ai tendance à oublier...

Il s'avère que Jérémy et moi même, enfin, je ne sais pas si il est toujours d'accord, mais on voudrait monter notre boite d'édition, en commencant par nos oeuvres!

Je n'en dirais pas plus. ^^

Shotaro a raison.

Pour ce qui est de l'expression dans la bouche du général, je crois qu'il y a moyen de jouer sur les différences de registre à bon escient pour surprendre, mais dans un texte si cours, ça me paraît difficile : il faut bien présenter les personnages avant, donc à réserver aux nouvelles au moins... Et éviter de glisser trop souvent, sinon on perd le fil.

L'édition, ça serait pas très cher comme job, des fois ?

Sinon tant que j'y songe, je conseille à tous le site officiel de Bragelonne (édition fantasy/SF france) qui donne d'excellants conseils aux jeunes (et moins jeunes) écrivains.

On les a déjà lu...^^

Mdr, L'édition, dit toi que c'est 1/4 du prix de vente d'un bouquin.

Et je vous remercie pour les conseils que vous donnez à Jérémy... Je le lui ai déjà dit bien sur, mais bon...

Je parlais de l'édition dans le cas où c'était sensé rapporter.
Impression, pub, distribution, vu les quantités, il faut un bon petit magot pour pouvoir se lancer. Sans compter qu'il trouver des auteurs...

hé hé...

on va pas tout te dévoiler non plus... on a de la ressource, figure-toi...

et oui comme dit Camille on a de la ressource nous Ne t'inquiètes pas pour nous ma puce. On et on reflechit . Voila

Si vous le dites. ^^
Par contre, évitez les familiarités avec moi, ça ne marche pas. :p

Une familiarité ? Oh !!! J'aurais osé ? *Relecture du post* ah oui, désolé c'est que j'aime bien de temps en temps plaisanter. Le prend pas mal

A plus tard, chere madame ou mademoiselle.

Madame ?! Appelle moi grand-mère tant que tu y es ^^

Tu es peut être marié. Qui sait ? Je ne te connais pas ta vie privé moi

Alors, euh... Bisous c'est trop familier ?