Célia, Le Jour ou La Magie s'éveilla
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Célia, Le Jour ou La Magie s'éveilla

Et si un jour La Magie déferlait sur le monde que nous connaissons..?
 
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 [ Fiche ] Benjamin Nox

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Benjamin Nox
Humain
Benjamin Nox


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MessageSujet: [ Fiche ] Benjamin Nox   [ Fiche ] Benjamin Nox EmptyDim 21 Mai - 0:25

Nom et Prénom: Benjamin Nox, connu sous le nom de hors-la-loi "Bennox".

Sexe : masculin

Nationalité : américaine

Langue(s) Parlée(s) : anglais, français, espagnol, allemand, ainsi que des bribes d'autres langues européennes.

Statut : - -

Âge : 23 ans

Type de Magicien : - -

Pouvoir Dominant : - -

Histoire :

02H37 du matin. Phildelphie, aux États-Unis. À travers la ville endormie depuis quelques heures, une ambulance qui hurle et qui crache une lumière rouge sur les facades des bâtiments entre lesquels elle tente de se frayer un chemin vers l'hôpital le plus près, qui se trouve à quelques kilomètres de là. Serpentant les rues sombres, évitant quelques automobilistes qui, malgré cette heure matinale, se rendaient au travail ou au contraire en revenaient, l'ambulance se déplaçait à une vitesse folle, telle une proie qui tente d'échapper à un prédateur invisible. Le temps. C'était une course contre le temps, et il n'y avait pas une seconde à perdre. Deux vies étaient en danger, deux vies reposaient dans la rapidité de l'engin de fer qui glissait dans les ténèbres de la nuit.

Après plusieurs minutes de conduite extrême, le véhicule entama son entrée dans le stationnement de l'hôpital. Reprenant aussitôt son allure folle, elle s'arrêta quelques centaines de mètres plus loin au service des urgences. Les deux ambulanciers s'empressèrent de descendre le brancard sur lequel reposait une femme. Une femme consciente, qui semblait faire des efforts pour bien respirer; haletante, elle avait le visage en sueur. Une femme qui tenait son ventre si fort, mais à la fois pourtant d'une délicatesse de mère. De future mère. Cette femme était sur le point d'accoucher d'un enfant.

La femme hurlait maintenant. On aurait dit un de ces cris de douleur profonde, mais aussi un cri de désespoir, un cri de détresse lancé du plus profond de l'âme. Ces cris qui nous glaçent le coeur lorsqu'on les entend, ces cris déments qui, dans un ultime espoir, sont lancés dans l'ombre et l'inconscient dans le but de trouver une aide, d'être sauvé d'une torture démoniaque. C'est du moins l'impression qu'eurent les ambulanciers qui se chargeaient d'emmener rapidement la femme au second étage du gigantesque hôpital, au service des naissances. En vérité, le cri de cette femme avait réellement de quoi glacer le sang.

Les patients et leurs familles qui étaient présent furent tous choqués et terrifiés par les appels désespérés de la femme, qui semblait souffrir infiniment. Bientôt, une certaine anxiété agitait les personnes présentes dans l'hôpital. Ou qui, du moins, avaient entendu le vacarme qu'elle seule parvenait à faire de sa gorge déployée. Des rumeurs de voix parvenaient à l'oreille des ambulanciers, qui, pris de cours par cette scène morbide, paniquaient et redoublaient d'efforts pour tenter de calmer la femme enceinte. Les gens autour la fixaient, un regard d'épouvante fixé au visage; l'hôpital tout entier se retrouva bientôt dans un état de panique avancée.

On introduisit finalement la femme dans une salle d'opération, où on ne tarda pas à s'attrouper, médecins et infirmières, infirmiers et aide-soignants, autour du sujet. La femme hurlait de plus belle, et commençait à se débattre: on dût lui tenir les membres afin de l'empêcher de se blesser elle-même ou une autre personne. Enfin, après quelques instants, un docteur réussit à raisonner la femme qui, disposée à collaborer, avait laissé entendre, entre deux respirations saccadées, qu'elle écouterait les ordres de ce dernier.

Sans perdre de temps, on commença la mise à couche. La femme semblait souffrir de plus en plus, et hurlait encore; mais ce n'était point de ces hurlements de désespoir. Elle souffrait. Les traits de son visage étaient si crispés qu'elle en était méconnaissable. Tout d'un coup, une petite forme rondelette, toute blanche et toute petite, munie de quelques cheveux fins, fit son apparition dans l'orifice vaginal de la femme. Le bébé était en train de faire son entrée dans le monde, et sa mère fit quelques efforts qui la poussèrent à bout. Ayant poussé une fois de trop trop fort, elle se mit à perdre beaucoup de sang; le médecin s'en inquiéta et tout de suite, les assistants, qui avaient imaginé cette possibilité, se mirent à la besogne.

Quelques interminables secondes plus tard, l'enfant était né. Un petit être tout blanc et maculé de rouge, mais qui semblait avoir beaucoup de difficultés à faire le premier pas dans ce monde, celui d'entamer le premier geste naturel de l'être: respirer. Sa petite figure crispée, la bouche ouverte, le nouveau-né aurait pu être perdu à ce moment. Le médecin, toutefois, massa la poitrine du petit d'une geste doux, et, sous les yeux innondés de sa mère, dans un regard ultime, le bambin se mit à crier de toute sa voix. L'air passait. Le petit était sauvé. La mère, quant à elle, s'éteignit avec la vision d'un petit être qui la fixait, ce petit être qu'était son enfant et qu'elle ne put toucher de ses mains avant de rejoindre l'Au-delà. Elle était morte en donnant la vie. Son Passage était indéniable.

Serait-ce parce que le bébé l'eut senti, il se mit à crier de plus belle. Sa miniscule voix aigüe parvenait aux personnes de l'assistance dans un déchirement profond, celui d'un être qui ne connaîtrait jamais sa mère. Le bambin renouvelait ses cris de plus belle, comme si, suffoquant, il ne parvenait pas à reprendre son souffle. On s'empressa de le mettre sous respirateur artificiel, mais rien n'y fit; il sembla même que cette précaution avait empiré la situation.

Le visage du bébé devenait écarlate, sa peau brûlante. Agitant ses membres dans tous les sens, il se débattait de ses petits membres de nouveau-né, dans la volonté d'un être qui s'accroche désespérément à la vie. Une infirmière, touchée de cette vision d'horreur, se plaqua la main devant la bouche et pleura, marmonnant des paroles inaudibles entre ses doigts moites. Le médecin et son assistance tentaient en vain de faire respirer l'enfant.

Tout à coup, avec une force surprenante pour un enfant né seulement une minute auparavant, il réussit à se dégager, d'un geste qui se voulut certainement involontaire, du masque d'oxygène qui lui enveloppait la plus grande partie du visage. L'assistante du médecin saisit alors doucement la minuscule main du bambin, mais un cri de douleur lui échappa: ce dernier semblait lui avoir écrasé l'index. Elle se dégagea vivement de son emprise, tout en jetant à la petite créature un regard de terreur, d'imcompréhension et d'épouvante. Comment est-ce qu'un nouveau né possédait une telle force physique?

Au départ alerté par l'incident, le médecin fut soulagé de voir que, d'une manière qu'il ne saurait expliquer, le bébé se calmait et qu'une respiration normale semblait le gagner petit à petit. Puis, tout aussi brusquement qu'il s'était mis à hurler, le bébé s'endormit.

Plusieurs jours après sa naissance, il pleurait toujours de ce cri désespéré, de souffrance et, étonnamment, de tristesse. De véritables sentiments se dégageaient de la mélodie régulière des cris de l'enfant, ce qui rendait à la scène une dimension encore plus dramatique. Épouvantable. Cet enfant, né d'une mère morte en lui donnant naissance, était décidement un petit être étrange dont les gens se souviendront encore longtemps.

***


Dernière édition par le Dim 21 Mai - 0:35, édité 1 fois
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Benjamin Nox
Humain
Benjamin Nox


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MessageSujet: Re: [ Fiche ] Benjamin Nox   [ Fiche ] Benjamin Nox EmptyDim 21 Mai - 0:26

Ce petit enfant, c'était moi. Je m'appelle Benjamin Nox. J'ai 23 ans, et je suis un hors-la-loi. Enfin, si je le suis pour le gouvernement, c'est que je dois l'être réellement. Pourtant, je ne suis pas un de ceux-là, ces autres. Je ne suis pas un "spécial", du moins rien ne pourrait me laisser croire le contraire. Mais je suis un hors-la-loi. Ce qui est pour le gouvernement, est une vérité absolue. Inévitable. Indéniable. Je suis un hors-la-loi. Je suis Bennox.

C'était un soir du mois de mai, une de ces soirées fraîches où même l'air à l'intérieur de la ville était agréable à respirer, vous emplissant les poumons de doux velours que l'on inspirait et expirait. À ce moment, j'habitais toujours ma ville natale, Philadelphie. Ce soir-là, j'avais décidé de me rendre chez un vieil ami à moi, que j'avais rencontré plusieurs années auparavant à l'école secondaire et que je fréquentais souvent depuis lors. Il m'attendait pour 23H00. Il était 22H04. J'avais de l'avance sur l'horaire, car je n'avais rien de prévu cette journée-là qui m'eut empêché d'être à mon rendez-vous à l'heure. Aussi profitai-je de cette avance pour me rendre à La Terrasse, un petit restaurant qui se situait à quelques patés de maisons de là, sur la rue Sansom, dans le quartier historique national de la ville.

Tranquillement, je remontais la 34e. L'air était frais. À cette heure encore, la circulation y était abondante, surtout sur le boulevard que je longeais par sa droite; à n'en point douter, on aurait pu comparer les nombreuses automobiles se frayant un chemin à travers la masse qu'elles composaient à des fourmis dans une fourmilière. C'était Philadelphie comme je l'avais toujours connue, c'était ma ville.

Je traversai alors à la hâte la rue Walnut, puis la 34e, me retrouvant ainsi à la longer par sa gauche. À cet endroit, que je connaissais bien pour arpenter fréquemment ses vieux trottoirs usés par le temps, la lumière des lampadaires semblait être absorbée par l'obscurité même de la nuit. Un petit coin sombre, un monde inconnu, où on pouvait toujours tenter de deviner ce qui se tramait derrière les ténèbres nocturnes. Préférant m'abstenir de pensées inquiétantes, je pressai le pas et bifurquai brusquement à ma gauche, m'engageant sur la rue Moravian. Très peu fréquentée, cette allée avait un aspect lugubre. Chaque bâtiment des côtés de la rue semblait menacer les passants de leur imposante masse noire. Si l'obscurité s'y faisait tout aussi imposante, la présence de piétons de part et d'autres de la rue déserte acheva de me rassurer.

Mais je sus que cette pensée était stupide. Comment, des voleurs ou des tueurs nocturnes s'embarrasseraient de la présence d'autres gens pour effectuer leur besogne? Leur mot d'ordre était discrétion, invisibilité. Quelques mètres carrés de ténèbres plus épaisses, un enlèvement, un vol, un coup de poignard dans le dos. Ni vu ni connu. Philadelphie, c'était une ville historique, certes, mais aussi un taux de criminalité qui aurait affecté moralement le plus courageux des hommes, aussi vaillant fut-il.

C'est alors qu'un son étouffé me parvint et me figea sur place. Était-ce dû à mon état d'esprit, était-ce dû à mon imagination qui m'avait rendu anxieux quelques secondes auparavant, en m'engageant sur la rue Morivian, je ne sus le dire à ce moment. Je tendis alors l'oreille, immobile. Le son venait-il de derrière moi, ou sur un des côtés? Ayant finalement conclu que ce n'était que le fruit de mon imagination fatiguée, j'allais reprendre ma marche - d'ailleurs pas pour très longtemps, car la rue Moravian tournait vers la droite et le restaurant La Terrase s'y trouvait - lorsqu'à nouveau, j'entendis ce même son étouffé. C'était bien ce que j'avais cru la première fois, mais que j'avais refusé d'admettre. C'était un cri étouffé de femme, comme si quelqu'un avait mis sa main sur une bouche afin de contraindre une personne au silence.

Mon coeur sauta un coup. Le cri provenait de la gauche, sûrement de la petite ruelle devant laquelle je venais de passer. Un stress compréhensible commença à m'envahir. Les mains moites, je n'entendais plus que le battement de mon coeur, qui s'accélérait considérablement plus les interminables secondes passaient. À quelques mètres de moi seulement, une femme était en détresse, captive d'un tueur fou ou d'un violeur. Mes mains se mirent à trembler non point de peur, mais d'adrénaline. C'était une sensation étrange que je ressentis à ce moment précis, que je ne saurai expliquer exactement.

Je sentis une grande chaleur envelopper tous les muscles de mon corps; ma respiration tremblotait régulièrement. Mon coeur battait de plus en plus fort, au point même où j'en eut le tourni. Je n'avais pas encore bougé. Étrangement, à cet instant précis où je me décidai à porter secours à cette femme, je me sentis capable de grandes choses, j'eus la conviction que rien ne pourrait m'être impossible. Me retournant lentement vers la gauche, je m'engageai dans les ténèbres totales, guidé uniquement par la faible voix de femme. Un cri désespéré qui resta à jamais dans mon coeur. Ce même cri qui, vingt-et-un dans plus tôt, m'avait fait naître.



Le lendemain, un article apparut dans les journaux.

Jeremy Logan, le fameux violeur sexuel qui avait fait plusieurs victimes au cours des dernières semaines, a été battu à mort, hier, dans Hill Square, sous les yeux ébahis et horrifiés des promeneurs du soir.

Hier soir, vers 22H19, une forte détonation a été entendue de la plupart des gens qui se trouvaient entre la 31e et la 36e. Immédiatement alertés, deux agents des forces policières, André Bertheault et Robert Manson, qui se trouvaient en service dans l'arrondissement Walnut, sont accourus vers le lieu d'où provenait le coup de feu. Deux hommes ont été aperçu, sortant en courant d'une petite ruelle adjacente à la rue Moravian. Le premier portait une arme à feu et le second, qui était apparu quelques secondes plus tard selon les deux policiers, semblait blessé à l'épaule. «Visiblement, dit Manson, le second homme tentait de rattraper le premier. Jamais je n'avais vu un homme courir aussi vite. Il a ratrappé le premier en à peine quelques secondes, alors qu'il venait d'entrer dans Hill Square.» «Ils avaient trop d'avance sur nous, explique Bertheault, qui est actuellement dans sa treizième annnée de service policier. Nous n'avons pas pu les rattraper.»

Plusieurs témoins disent avoir assisté à l'horrible scène qui s'est déroulée sous leurs yeux. Selon un témoin visuel anonyme, un homme poursuivit a été rapidement rattrapé par un autre, alors que tous deux étaient dans le parc. Surpris, le premier, qui portait un veston en cuir noir, n'a pas eu le temps d'utiliser son arme à feu pour se défendre et a violemment été projetté à quelques mètres d'un coup de tête dans les côtes. «C'était inouï, nous a déclaré Mme. Patterson, résidante de la rue Sansom et témoin de la scène. Jamais de ma vie je n'avais vu un homme courir aussi vite que l'assaillant. Puis, bang! un coup de tête dans les côtes de l'autre, qui est tombé immobile sur le sol trois mètres plus loin. Puis, l'homme qui était encore debout s'est mis à battre à coups de pied l'homme étendu sur le sol. On aurait dit qu'il était enragé.»

Cette même dame nous a affirmé avoir vu l'homme arracher d'un coup la rampe de piétons. «Il s'en est servi pour achever l'autre homme...c'était horrible, ajouta-elle. À ce moment, deux policiers sont arrivés, mais c'était trop tard. L'assassin détalait déjà comme une gazelle, visiblement essouflé de ses efforts. Les policiers ont vidé leur chargeur, mais l'homme disparaissait déjà dans la noirceur.»

Était-ce un acte délibéré, un meurtre sans aucune raison? À première vue, on pourrait croire que c'est effectivement le cas. Une fois de plus, les "spéciaux" ont frappé notre bonne ville de Philadelphie. Et cette fois, c'était un fou qui arrachait d'un coup de patte une rampe en métal pour tuer un homme. Un violeur certes, mais qui aurait eu droit à un procès.



Je suis un hors-la-loi. Je suis Bennox.


Dernière édition par le Dim 21 Mai - 0:46, édité 5 fois
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Benjamin Nox
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MessageSujet: Re: [ Fiche ] Benjamin Nox   [ Fiche ] Benjamin Nox EmptyDim 21 Mai - 0:27

Hé biiiiin wouélà! J'ai finalement posté ma présentation, après X heures d'écriture et de révision Hihi
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Tessa Sheldon
Magicienne Traceuse
Tessa Sheldon


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MessageSujet: Re: [ Fiche ] Benjamin Nox   [ Fiche ] Benjamin Nox EmptyDim 21 Mai - 0:32

Lol, bravo !
Maintenant je vais tenter de le lire par morceaux : d'une seule traite, je peux pas : ya stargate...
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Benjamin Nox
Humain
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MessageSujet: Re: [ Fiche ] Benjamin Nox   [ Fiche ] Benjamin Nox EmptyDim 21 Mai - 0:54

Prends ton temps Hihi

Ah et si tu vois des fautes dans le deuxième message, ben je viens de voir et c'est arrangé ^^ Donc no prob de ce côté je crois, à moins que j'en aie loupé Je le note
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Tessa Sheldon
Magicienne Traceuse
Tessa Sheldon


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MessageSujet: Re: [ Fiche ] Benjamin Nox   [ Fiche ] Benjamin Nox EmptyDim 21 Mai - 1:14

question : tu n'es pas un magicien, mais tu as un pouvoir ou non ?
J'imagine que l'adrénaline n'explique pas tout, hein Clark Kent...
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Benjamin Nox
Humain
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MessageSujet: Re: [ Fiche ] Benjamin Nox   [ Fiche ] Benjamin Nox EmptyDim 21 Mai - 1:18

En fait, j'en ai parlé avec Shotaro par MP et par MSN. Mon personnage ne possède pas de pouvoir de Magicien, ce n'est donc pas un Magicien. Par contre, le phénomène s'explique entièrement biologiquement, mais avec une petite touche mystérieuse que mon personnage découvrira au fil de ses textes, tout comme vous ^^

Mais ne vous inquiétez pas, mon mec c'est pas un Hulk version Célia Rire

Il est tout à fait humain: ça ce n'était que la présentation de mon perso, un peu normal que vous vous posiez des questions et que mon perso vous paraisse "spécial"

Hihi

Il retracera son passé au fil des textes, fera des liens entre les événements qui son survenu durant toute son existence, et même au-delà...
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